La Grande Place

(--> La Grande ferme)

*Spinelle n'en revenait pas, son maître était mort. De nombreux souvenirs venaient envahir son esprit. C'était cet homme qui lui avait appris à tenir une arme pour la première fois, c'était lui, qui lui avait appris à se battre, à se servir de sa force obscure, intérieure...
Alors qu'elle songeait à tout ça, l'esprit embrouillé, elle s'assit au bord d'une fontaine. Elle était dans ses pensées et ne vis pas l'homme à la cagoule noire s'assoir à ses côtés.
Elle pris sa tête entre ses mains et des larmes commencèrent à couler. Elle ferma les yeux alors que l'homme sortit un dessin la représentant. Il sourit.
Elle ne vit pas non plus la dague que l'homme pris de sous sa cape.
Elle sentit seulement la lame s'enfoncer dans sa poitrine.
Il ouvrit les yeux juste avant de tomber dans l'eau.
Il s'enfuyait mais elle avait vu son visage. Elle s'évanouit.*

(--> Chez le vieux sage)

=} ruelles sombres


* le soir sur la place, de nombreux passants passent la tete baissée a pas pressant d'air air pressés. au bord de la fontaine une jeune femme pleure. je m'approche d'elle et lui dit d'un ton calme*

- quelque chose de va pas madame???

* elle leve la tete et me dévisage en essuyant ses larmes*

-qui etes-vous???
-je me nomme Kradenken, et si je peux faire quelque chose pour vous, je le ferai volontier (disons surtout que je me fait chier a crever dans cette ville de nuls...)
-vous etez bien aimable mais je crains que vous ne pourrez pas me récomforter...
-pourquoi? quel est le problème? je me fais vraiment chier alors vas-y crache le morceau
-vous risqueriez votre vie...
-mais non voyons, je suis robuste! vite vite aboule la mission, je me fais chier j'en ai marre accouche!
-je ne sais pas quoi vous dire...
- il faut me faire confiance madame j'ai risqué plusieurs fois ma vie et je la risquerai davantage pour une belle demoiselle affligée putain me fait pas mariné accouche avec ta mission dis moi ce que tu veux mais crache le morceau vite!!!!
- c'est mon mari il a disparu dans les marais la se....
- a ben tu voit quand u veux! euh désolé merdre je me suis gouré
*la femme reste interloqué*
-votre mari a disparu dans les marais? je vais le retrouver de ce pas! je reviendrais avec lui!
-merci.... euh... pour le reconnaitre, il est chauve.....
-merci du renseignement, je part maintenant, le temps est compté!

=} ruelles sombres

Trace =}3

(Ruelles sombres)

Alors c'est à ça que ressemble "la ville"? J'ai toujours essayer de faire cavalier seul et me voilà aux avant postes de ma perte...

*Northfölk fit le point quelques secondes, et entra dans le magasin d'un marchand d'équipement en tous genres, "Chez John et Sam: achetez tout, vendez tout!"*

parfait!

(Chez John et Sam)

(La taverne)

*Northfölk arrive sur la grande place, encore troublé par les paroles de Marcus, il s'assoie sur la fontaine centrale et réfléchie à ce projet H*

-Mauvaise journée mon gars?

*Un campagnard, très mal fagoté avait abordé le worgen, il tenait une cigarette rouler à l'arrache*

j'ai la côte avec les péquenots....

-En effet, pas un jour à dormir dehors en tous cas!
-Je comprend.

que tu crois

-Vous avez l'air fort, vous n'auriez pas travailler la terre dans le passé?
-Heu... oui Répondis-t-il d'un air méfiant.
-Alors je dois vous parler de ma ferme, elle est infesté de loups-garou depuis une semaine, vous devez comprendre ce que je ressent, privée de mes terres... Je dors dans la ruelle las-bas je n sais plus quoi faire.... Comme vous disiez, c'est pas une journée à dormir dehors...
-Ils ressemblent à quoi vos loups-garou?
-Bha... des loups-garou.
-Oui mais je veux dire physiquement? Maigre, gros...?
-Assez fin, ils bougent super vite et sautent partout

Balverines!

-Elle est loin votre ferme?
-Du tout pourquoi?
-Emmenez-moi, avec un peu de chance je vous en débarrasse.

*L'homme lui fit signe de le suivre, passa par des petites ruelles, très étroites, ce qui mis Northfölk aux aguets, ils tournent à droite et le bout de la rue est bouché par deux bandits, le worgen et le paysan se retournent et deux nouveaux bandits les prennent au piège*

-Pas si loin?
-Désolé...
-La bourse ou la vie?
-Pardon?
-Qu'est ce qu'il à le bouzeu? T'es un paysan t'as forcément un peu d'argent sur toi? Et toi le capuchon, tu dis rien? t'as trop les jetons?
Les quatre bandits se mirent à rire
-Allez aboulez le pognon, sinon!
Northfölk regarda les quatre hommes et dit:
-Sinon quoi? Tu va nous taper avec tes ptis poings musclés? Rangez vos jouets, vos fourreaux sont vides et vos cures-dents ferai pas de mal à ma grand mère, de plus l'autre derrière sous sa cape, il lui manque un bras, et il est clair que vous voyez rien avec ces cache oeil alors vous nous laissez passer ou yora du sang dans la ruelle!

*Les bandits se regardèrent, un blanc d'une minute fit son apparition, quand le bandit avec la beau fourreau qui semblait être le chef et qui parlais pour les autres l'imterrompit*

-Et qu'est ce qui nous dit que t'es assez burné et assez fort pour nous la mettre, on reste quatre!
-Moi je vous le dit, non même mieux attendez

*Northfölk enleva son capuchon et sa chemise, laissant apparaitre ses tatouages*

-Alors?

*Le bandit au fourreau dégluti et se mit en position de combat, ses deux compère qui étaient dos à Northfölk tentèrent de lui prendre les bras, mais les ruelles sont étroites, les tètes cognèrent contre les murs, le paysan se mit derrière une poubelle et observa la scène, le worgen distibuait les pains pour tout le monde, lorsque seul le chef au fourreau resta debout s'engagea un combat singulier, il possédait une bonne technique, après 5 bnnes minutes d'esquivent de la pars des deux combatant, Northfölk toucha à l'épaule, se qui fit perdre léquilibre au bandit qui s'étala sur un tesson de bouteille*

-Voilà qui est réglé, évidement ils n'ont rien sur eux, à pars leurs vètements
-Vous avez tuer ces hommes? Ce sont des bandits mais ils ne le mérite pas!
-Ils sont juste sonné et l'autre... survivra, ou pas
-En tous cas merci je vous en dois une!

*Northfölk remis ses vètements. Les deux continuèrent leur chemin, il passèrent une porte et se retrouvèrent en dohros de la cité, si dirigeant vers la forêt*

(La vieille forêt)

(Une vieille ferme sinistre)

*Northfölk arriva sur la grande place, chacun de ses pas formait une empreinte de sang sur le bitume, il s'effondre par terre, encore, et se relève, encore, se dirige vers ce qui lui semple être un hospice, entre et s'effondre à nouveau, personne ne semble voir, tout le monde cours, s'agite.
Il essai de gagner un lit, il faut qu'il se repose, il commence à enlever ses vêtements, ce qui découvre de magnifiques entailles, le corps entier du worgen est recouvert d'hématomes, de plaies ouvertes, son visage et immaculé de rouge.

Doucement il s'allonge, sa transpiration à été remplacer par du sang, un médecin s'arrête sur son cas, l'intube sur le bras droit avec un liquide rouge bizarre, et sur le bras gauche avec un liquide transparent.

La morphine commence à faire effet, Northfölk reste conscient jusqu'au bout, embrassant la mort, écoutant les douces paroles de l'infirmière qui jongle avec les patients, dans le lit d'à coté, il voit une jeune femme, totalement brulé, qui meurt peu à peu.*

-Vous êtes tiré d'affaires, vous devez dormir monsieur!

*Ce sont les dernières paroles que Northfölk entendu dans sa tète, et l'infirmière la dernière image, il s'endormit*

-Vous avez vu sur ses bras docteur?
-Oui c'est inquiétant, je ne sais absolument pas ce que c'est, il faut que je fasse appel à un ami à moi, pathologiste, il n'habite pas très loin, pourriez-vous aller le prévenir mon chaton?
-Bien sur docteur, son nom?
-Federmann, sa demeure est juste en face de la taverne
-J'y court

*Les tourments de Northfölk continuais dans son sommeil, il voyait sa mère bafouée, son peuple massacré, ses mains couvertes de sang... Le docteur Federmann entra dans la pièce.*

-Alors Léon, quel est le problème?
-Professeur, vous voici! Regardez les bras de ce patient, saurez-vous me dire ce qu'il a?
-Mais bien sur!

*Les yeux du professeur, s'écarquillèrent, il ne pouvait croire ce qu'il voyait, et Northfölk non plus, il tomba nez à nez avec un petit vieux aux cheveux blancs et des lunettes jaunes, avec une belle et grosse verrue sur le nez*

-Qui êtes-vous?
-Léon et madame l'infirmière, merci, sortez maintenant
-mais...
-Sortez!

*La porte claqua*

qu'est ce qu'il me veut le barbu?

-Je sais ce que vous ètes vraiment
-C'est à dire?
-Un worgen n'est ce pas?
-Oui, comment...
-Vos bras

*Northfölk observa ses bras, des pointes sortaient sur le dessus de ses avant bras, elles étaient très petites mais cependant visibles*

-Comme mon père...
-Comme tout votre peuple, sauf vos femmes bien entendu
-D'où savez-vous tout cela?
-Ecoutez, ce chapitre de ma vie est loin, je ne veux plus m'en souvenir.
-Vous en avez tuer combien?
-Aucun, Auncun je vous assure! Ce n'est pas ce que vous croyez, je travaillait dans la lutte, la résistance, avec votre peuple.
-Alors dites-moi pourquoi! Ce conflit, cette guerre! Ils étaient sur de la gagner, pourquoi ont-ils fait cela?
-Je n'en sait rien, mais je peu vous dire que le point de concentration de l'ancienne résistance se trouvait dans la cité souterraine, peut-être cela vous aidera dans vos recherches.
-Je ne vous crois pas.
-Pardon?
-Je conais ce regards, le votre en ce moment, vous avez tuer sans relâche, et essayez de vous rattraper, il est mêlé au sentiment de peur de revoir votre ancien ennemie...
-Comment avez-vous survécue, vous auriez du tous mourir, je m'en veux tellement...
-Je sais rester discret, mais ce n'est plus à l'ordre des choses, j'ai besoin de dormir, barrez-vous, et laissez moi tranquille, ne parlez jamais de moi, oubliez-moi!

*Le professeur sorti sans un mot, la peur au ventre. Le doc rentra et examina le worgen pour être fixer sur son état de santé*

-Le professeur m'a dit que c'était génétique, une maladie orpheline, on ne peu malheureusement rien faire pour vous.
-Je sais, il me l'a dit quand nous étions seul.
-Vous savez, le professeur est un type bien, il à monter un orphelinat, et un abris pour SDF après l'Apokalypsis
-...
-Vous vous sentez mieux?
-Un peu, ma poche de liquide rouge est vide, je pense qu'après une bonne nuit de sommeil.
-Ho, le liquide est du sang mêlée à de la potion de vie, très efficace, surtout pour cicatrisé, je vous laisse dormir au revoir

Tu ne perd rien pour attendre "professeur"

*Northfölk s'endormit, pendant plusieurs heures, il enchainait cauchemars, sur cauchemars, il se réveilla en pleine nuit, couvert de sueur, plus aucunes cicatrices, griffures ou bleus, il décida donc de prévenir le médecin, de payer ses soins et repartir*

(La maison du professeur)

(Chez john et Sam)

Bon... Le professeur m'a dit de continuer mes recherches vers la cité souterraine... Je devrai le croire? après tous ses coups tordus? Boarf je n'ai rien à perdre, surtout en ce moment...

*Northfölk se dirigea vers la grande porte pour entamer sont voyage à la cité souterraine*