Au milieu des brumes

Où... où suis-je... ?
Fatigue...
Mon corps...
Qui suis-je ... ?
Pourquoi...
Pourquoi la vie ?
Pourquoi... la mort ?
*Zimm se leva d'un coup*
Encore un mauvais rêve... Je déteste ces mauvais rêves... J'en fais souvent, trop souvent...
*Ses deux ailes sombres agitées l'air autour de lui, au loin une vieille ruine était visible.*
Par là... Je ne sais ce que je vais y trouver, mais mon instinct m'y guide...

(--> Les ruines)

(--> La dernière citée)

Zimm marchait calmement en se creusant la tête quand il perçut un grognement dans les ténèbres grises. Il se retourna, à l'aguet.
Où tu caches tu... misérable monstre... ?
Les ailes noirs de l'ange sortirent de son dos, ses yeux devinrent rouge, son sabre était sorti, il était près à combattre, à tuer. Son visage était crispé par la haine.
C'est alors qu'une hyène des brumes sorties des ténèbres pour se jeter sur lui.
Une hyène ? Saleté... Cela veux dire que je suis sur son territoire...
Zimm enfonça son sabre dans la chaire de l'animal alors qu'elle s'apprêtait à le mordre. La hyène hurla et d'autres hurlements lointain lui répondirent. La créature tacheté s'éloigna de l'ange noir en boitant. Elle attendait ses congénères.
Zimm se concentra et prépara un sort en silence.
Quelques minutes après, elles étaient 5 autours de lui. Il sourit.
Si je suis incapable de tuer ces 5 Hyènes, je serais incapable de me rendre sur le continent inconnu.
L'une d'elles, plus grande et musclée, grogna. C'était la chef, le signal était lancé. les cinq créatures commencèrent à tourner autour de leur ennemi.
Zimm prononça une formule et une aura ténèbreuse recouvrit son corps. C'était une simple protection mais cela déplut aux Hyènes. Deux d'entre elles lui sautèrent dessus. L'une s'accrocha dans son dos. Zimm tournoya sur lui même en découpant l'air avec son épée. La deuxième hyène fut touchée à la gorge alors que la première lacha prise. Le sang de la créature coulait sur le sol, mais elle restait debout. Sans attendre d'avantage, Zimm se précipita sur celle qui était sur son dos et lui enfonça son sabre dans la gorge. Il ne vit hélas pas les trois autres monstres lui sauter dessus par derrière. Zimm se retrouva allongé sur le sol sous les coups de griffes et de crocs. Heureusement sa protection tenait bon. Pour le moment. Il se débattit à coup de sabre et creva l'oeil d'une des créatures. Il finit par parvenir à se relever. Les 5 hyènes plus ou moins blessés étaient à quelques centimètres de lui et elles grognaient en montrant leurs crocs. D'un geste rapide, Zimm saisit la gueule d'une d'elle et enfonça son sabre dans son crâne. Elle tomba raide morte sur le sol après avoir poussé un petit coinement.
Une de moins.
Trois, des quatre hyiènes se poussèrent, et une se rua avec rage sur Zimm. C'était la chef, la plus grosse des cinq hyiènes. Ses coups de griffes étaient beaucoup plus violents et la protection ténèbreuse de l'ange noir pris fin. Aussitôt une grande fatigue l'envahit et la hyène le fit valser d'un coup de griffe dans la tempe. Zimm était désorienté, il voyait les trois autres hyènes reprendre confiances et s'avencer dangereusement vers lui. Il se remit debout à temps et s'envola dans les airs. Sa magie ténèbreuse l'avait protégé de certains dégats mais les effets secondaires étaient dévastateurs. Il avait la tête qui lui tournait.
En bas, à quelques mètres en dessous, les hyènes hurlaient. Il pensa à fuire, mais se souvint de ce qu'il s'était dit. Il avait encore de l'énergie, il n'avait pas dit son dernier mot.
Il se laissa retomber vers le sol, la lame pointé vers le bas. Il visa comme il faut et retomba sur le dos de la chef. Son sabre traversa la chaire et les os. Son poid fit craquer les vertèbres de la créature qui s'affala dans la poussière.
Deux des hyènes tentèrent alors de venir en aide à leur chef. Elles lui sautèrent dessus. Zimm pris de nombreuses griffures et morsures, mais il tint bon et parvint à retirer sa lame des entrailles de la bête. Il remarqua alors la blessure au cou de l'une des hyiènes qu'il avait affligé peu avant. Il enfonça alors son sabre dans la gorge de la créature déjà affaiblie, elle tomba sur le sol dans un dernier râle.
Zimm se retrouva alors droit, le visage fatigué, couvert de sang, les habits déchirés. En face de lui, deux hyènes restaient, dont une qui avait un oeil en moins.
Ces hyènes sont de redoutables adversaires...
Ni lui, ni elles, n'osaient attaquer. Les ennemis se dévisageaient en silence. Puis, doucement, les deux hyènes s'en allèrent en lui tournant le dos.
Elles fuient... Les idiotes, leur sort est scéllé...
Zimm couru vers elle, la lame prète à porter un coup fatal. Quand il se trouva à quelques mètres d'elles, il fut arrêté brusquement par une force mystique. Une douleur envahit son crâne, il tomba à genoux en hurlant. Son sabre tomba sur le sol et ses deux mains saisirent son crâne comme pour essayer de faire fuir la douleur.
- Ne pas... attaquer... personnes... sans défence...
La douleur disparue. Zimm était allongé sur le sol, presque évanouhit.
Les deux hyènes s'étaient arrêtés pour voir ce qu'il se passait. Elles s'approchèrent alors de l'ange noir avec pour ambition de s'en servir comme repas. Il semblait beaucoup plus inofensif.
Zimm ferma doucement les yeux, sa fatigue était trop grande.
Les deux hyènes se léchaient les babines d'avance, elles se penchèrent sur lui, prètes à le dévorer, quand soudain, un loup au pelage noir sortit de la brume et s'élança sur les deux créatures. En quelques coups de crocs et de griffes, les deux hyènes étaient en fuites et Zimm perdit tout à fait connaissance.

(--> La maison en pierre)

=} la frontiere


*cela fait maintenant plusieures heures que je erre dans la brume, cherchan,t quelques traces de civilisation et de vie. quelques cadvres ont parfois jonché le sol, et un corbeau m'a salué. mes recherches ne donnent rien, et en plus, en fouillant les cadavres, je n'ai trouvé qu'une cuisse de poulet avariée, une gamelle sale, une gourde percée, un parchemin porno,et un lapin fossilisé. je n'ai rien gardé, mais j'ai hésiter pour le parchemin. ne sachant que faire d'autre, je continu ma route dans les brumes.*

=} au pied de l'arbre mort

Trace 11

=} au pied de l'arbre mort

* de nouveau, j'erre dans ce nuage de brume qui ne cesse jamais. enfin bonne nouvelle, je ne croise jamais le meme arbre: je ne tourne pas en rond c'est déja ça! soudain, j'entend des pas un peu plus loin. je saisit ma hache et regarde a travers la brume. une forme massive apparait alors plus loin. c'est gros.......c'est très gros...... c'est très très gros.....c'est meme un p'tit peu beaucoup gros....... c'est gros. c'est beaucoup trop gros pour moi!

* ni une, ni deux, je me précipite dans le buisson le plus proche et je me cache (facile pour un nain....{ en cotte de maille c'est plus dur...}). et j'attend..... et j'entend.... les pas se rapprochent.... c'est très gros et très lent... sa a 4 pattes.... et sa vient par la. de plus en plus près.... très proche.......

tout d'un coup, je le vit! un sanglier énorme, les yeux marron qui ne semblent plus très bien fonctionner. il fait au moins 2m50 de haut, c'est une montagne l'animal! un frisson me parcourt l'échine. heureusement que ici sa empeste la boue et le marai.... puis, tout aussi lentement, il s'éloigne d'un pas pesant. je reste dans mon buisson pendant un bon quart d'heure, pousse un soupirepuyis sort enfin de ma cachette improviser le coeur battant....

- mais quel bande de touristes que d'aller se perdre ici!!!

le coeur qui bat déja un peu moins la chamade, je repars en chanonnant

=} au bord du lac

Trace 13

=} le labyrinte des morts

* j'avance dans les brumes, en courant, un homme a moitié mort sur le dos. ne voyant presque rien et n'entendant pas beaucoup plus tellement mon coeur battait fort, il m'arrive de croiser du peuple. un loup par exemple, qui faisait la sieste sans doute, a été un obstacte improvisé, que j'ai sauté comme un cheval saute une haie. je ne me suis pas retourner pour voir sa tete, mais si je n'avais pas déja le souffle court, je crois que je me serai marré. après plusieurs rencontres bizarres, je sort enfin des brumes, et me dirige tout droit en direction de la derniere citée, pas comme a l'aller, ou j'ai fait le pinpin a passer par la foret. la, il faut faire vite, le temps est compté!*


=} la porte de la derniere citée (la derniere citée)

Trace 17

(--> L'arbre mort)

*Spinelle s'avançait doucement, elle avait faim, soif, se sentait exténuée et perdue... Sa tête était mise à prix. Elle était seule.
C'est alors qu'elle entendit un sifflement, elle se retourna, il y avait rien. Que de la brume. Mais une sensation de danger s'était emprunt d'elle. Elle pressa le pas.
Elle sentit quelque chose lui frôler la jambe et sursauta. Elle regarda sur le sol, c'était difficile à voir, la brume était basse, elle voyait difficilement ses pieds. Son coeur battait de plus en plus fort.
Soudain, elle vit une ondulation s'approcher. Sans hésiter elle sortit son sabre et donna de volants coups à l'aveuglette tout autour d'elle.
Rien n'y fit, que du silence.
Elle se remis à marcher et sentit alors une morsure au niveau de sa cheville. Elle hurla, se baissa et découvrit un serpent de 2 mètres de longs. Il devait être plus gros à l'origine car il était coupé en deux. Son sabre l'avait touché mais pas tuer. Ces saletés de bêtes sont résistances. D'un geste sec, elle planta son sabre dans le crâne du serpent.
Sa cheville commençait à enfler, elle avait la tête qui tournait. Il lui fallait faire vite... Elle repris sa marche, au début rapide, puis de plus en plus lente. Sa tête lui tournait. Sa vue se brouillait.*
Merde, c'est trop con... Continuer... Il me faut continuer...
*Elle finit enfin par parvenir à la sortie, au loin, elle reconnaissait l'entrée de la citée souterraine, elle était sauvée. Au moment où elle pensa à cela, elle trébucha et s'évanouit sur le sol. Son visage était pâle.*

(--> Repère de brigands)