Les marécages : le labyrinte des morts

=} au bord du lac

* je marche, je marche dans des terres toujours plus dures, ou les brouillard y est de plus en plus épais. au bout d'un moment, la brume se leve. non, nnon, au sens propre. le brouillard, qui avant collait la surface du sol, s'éleve a cet endroit de plusieures mètres au-dessus du sol. et par terre, un marais s'étend devant moi, avec des chemins de terres dures.*

- un labyrinte.....

* un arbre magnifique mais sans la moindre feuille orne l'entrée. avec le fer de ma hache, je sculte : labyrinte des morts* ouai sa claque

- bon puisque de toutes façon il va falloir passer....

* je commence a faire le camp. je mange un morceau en me posant a terre, installe le sac de façon a le faire un oreiller dos a l'arbre, et met ma hache a portée de main. je m'endort paisiblement avant d'attaquer une rude journée, demain*

*après une bonne nuit de someil calme et paisible, je rassemble mes affaires, mange un coup et boit également. j'ajuste ma cotte de maille, met mon casque et empoigne ma hache. je vérifie que je n'ai rien oublier, remet mon sac sur le dos, et entre dans le labyrinte en prenant le chemin tout droit, je laisse pour l'instant celui de droite et de gauche.*

=} quelque part dans le labyrinte

Trace 15

=} le labyrinte des morts

* comme dit le proverbe, dans un labyrinte, il faut toujours tourner a droite. j'emprun te donc a chaque croisement lma 1ere sortie, je répete cette meme action plusieures fois (25 fois en fait), puis, une intuition me dit d'aller tout droit. je continu donc ma route sur un chemin sec pendant une dizzaine d'embranchement. ici, le sol est sec et pratiquable, mais sinon ce n'est qu'un marai ou l'eau est recouverte d'une vase je ne sais combien profonde et je ne sais pas non plus si il est possible de la tranverser, vu que la viscosité des lieux est plutot.... visqueuse. les chemins de terre se croisent et ce recroisent, mais ils sont en général séparé de 3 a 4 bons metres, ou plus a certains endroits. le silence est au rendez-vous, meme si le bruit du vent ne cesse jamais. de temps en temps, la brume redescend soudainement, mais lorsque cela ce produit, elle est vraiment dense, et l'on ne voit meme pasa ou l'ont marche. ayant tester d'avancer tout de meme et ayant senti le bord de mon pied droit, ayant faillit tomber, je juge plus sage de m'arretter et de me reposer lorsque la brume descend. au bout de 10 embranchement prit tout droit, je continu mon dicton, et tourne a droite pendant au moins 16 croisements. la brume descend. je m'arrette donc.*

- ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

*un cri déchire le silence.scrutant l'horizon attentivement, avec des yeux de nains qui ont l'abitude de voir dans les endroits sans bonne luminosité (sans doute a cause d'etre toujours dans des mines....). je distingue au loin plusieurs silhouettes. une première grande, semble courir pour échapper 3 autres, plus petites. ne cedant pas a l'envit de me lancer a l'encontre de ce groupe,, je reste patient en attendant que la brume se leve. j'entend maintenant assez clairement les bruits de la poursuite. puis, enfin, la brume se leve.* un humain est poursuivit au loin par 3 petits etre, dont je ne peut pas distinguer la race précise a cause de la distance. je repere rapidement le chemin qu'ils vont emprunter et je m'aperçoit qu'il vont passer sur le chemin juste devant moi. je jette un regard a gauche, puis a droite. oui ici! je v'avance vers un endroit ou le marin est plus fin. il doit y avoir bien 1m20 entre les deux berges.*


c'est loin quand même.....


* pour etre sur, je retrace vite fait bien fait le chemin que le groupe va emprunter.... oui, il vont passer a 1m 20.... le bond n'est pas le fort des nains.... surtout que je n'ai plus mes capacités...enfin j'était quand meme bon avant..... j'essaye de regarder dans la vase. rien, que de la vase, il est impossible d'en déterminer la profondeur. temps pis, advienne que pourra. je n'ai plus le temps, si ça continu, ils vont passer et je ne pourrait pas les intercepter. il faut faire vite! je rajuste mon sac sur mon dos, recule de quelques pas,, empoigne ma hache. j'inspire un grand coup, puis m'élance a pleine vitesse vers le bord. je saute alors la hache la premiere. le temps semble ralenti, les sont semblent lent, sourd, comme étouffés....*


merdre... un peu trop court....

* j'atterrit les genoux dans la vase a 30 cm du bord. je plante ma hache sur l'autre rive en attendant de m'enfoncer a cause du choc, enfin de l'atterissage. je me cramponne au manche de ma hache. je m'enfonce dans le marai jusqu'au ventre.*


saloperie de merdre!


* je tire de toutes mes forces sur ma hache et me raproche difficilement du bord. une fois que j'y suis je souffle comme un aspirateur et pose mon coude gauche sur la rive. je decroche ma hache puis la replante un peu plus loin. je m'y aggripe des deux mains et me hisse de toutes mes forces. petit a petit, dans des efforts considérables je remonte. encore un peu.... je me laisse tomber sur le rivage. enfin! vite, je me leve et me prépart a recevoir l'assaut, je me met en garde, encore haletant, de la vase partout sur les coudes et jusqu'au ventre. l'homme me voit maintenant, et semble terrifié de ma présence.*

- pas de panique, je viens te sauver! viens derriere moi et attend.

* l'homme paniqué me dépassse, et s'éffondre pitoyablement a quelques pas. ses poursuivants ne sont d'autres que des lutins des marais. mesurant environ 80 cm enfin des adversaires a ma taille!!! vetu juste d'un pagne, une grosse tete avec une grande bouche garnie de cros aiguisé et avec des griffes peu acceuillantes. le premier sembla très étonné, mais ce jeta sur moi avec une fougue renouvellée. pas de chance, je le pourfend, lui taille la tete comme un crayon de papier, puis du plat de la lame, l'envoye directement dans le marai. le second, surprit asssista au batème de l'air de son camarade, et le suivit des yeux. il sembla très enervé de le voir atterrir, ou plutot amerir dans les veritables marai mouvant de ce labyrinte. très énervé, il ,se tourna vers moi. sa grande erreur, fut de me lacher des yeux quelques instants. la seule et unique, et derniere chose qu'il vit fut un genre de truc gris, courbe, et tranchant, enfin sa il ne le sut que après que sa tete ne soit séparé de son corps. le dernier lutin été arreter au milieu du chemin,les yeux grand ouverts. une flaque de liquide jaune s'affichait clairement a ses pieds. puis, il se mit a fuir en hurlant et en courant comme un dératé. je me tourne enfin vers l'homme. a son bras se trouve une vilaine blessure, qui pisse le sang. a son teint et a la vu de son ventre, il est affamé. il ne porte rien sur lui, si ce n'est que les restes d'un pantalon. yes!!!!!!! il est chauve!!!!! je tend a l'homme un bon morceau de pain et la gourde. et me remercie, avant de s'évanouir comme un minable en me murmurant:*

-ma femme....

*. je récupere le pagne d'un truc qui est a terre un peu plus loin, je ne sais pasa trop ce que c'est : il manque la tete... je m'en sert pour faire un bandage et je compresse la blessure de l'homme, puis une fois l'emiragie stoppée, je la bande. j'esuye la boue qui est sur moi puis je remet mon sac et met l'homme sur mon épaule heureusement que cest une alumette, il est super leger! je me met a courir pour sortir du labyrinte. pendant un gros quart d'heure, je erre dans le labyrinte avant d'apercevoir enfin la carcasse du bel arbre du début. enfin!! je le rejoint assez vite. la, je me pose un coup et mange un morceau et boit un coup.*

- meme avec mon super sens de l'orientation, je n'ai finalement pas réussit a le traverser.... cela cache quelque chose...

* après cette courte pause, je me remet en route le plus vite possible vers la derniere citée*

nous les nains sommes des sprinteurs, imbattanbles sur de courtes distances...

=} au mileu de la brume

Trace =}16

j'ai les boules sa fait 2 fois que j'écrit ce textes, le 1er sa a planter et j'ai tt perdu