Les ruelles sombres

(--> Sur les toits)

- Chut ! Quelqu'un arrive ! S'exclama l'un des hommes.
*Ils firent silence, Spinelle s'approcha doucement*
- Bonsoir... fit-elle.
*Elle avait laissée ses cheveux flotter aux grées du vent, ses yeux pétillaient*
- Bonsoir Madame, vous savez ce n'est pas très prudent de trainer ici le soir, remarqua l'un d'eux.
- Oui, on pourrait y faire de mauvaises rencontres.
- De très mauvaises rencontres.
*Les trois hommes commencèrent à l'entourer, doucement. Ce fut d'abord une main qui vint se coller sur ses fesses. Elle recula et se retrouva dos au mur*
- On vous plait pas Madame ?
- Oh si beaucoup, fit-elle en un sourire.
- C'est que c'est une chaude la Madame, allez vient là !
*L'un des hommes commença à déboutonner son pantalon en s'approchant d'elle. D'un geste sec, elle saisit son sabre et trancha le bras gauche de l'individu avant même qu'il n'est compris ce qui lui arrivait. Spinelle rit et lécha le sang sur son sabre. Il était particulièrement aiguisé et elle s'en coupa légèrement la langue.
L'homme tomba au sol en hurlant, les deux autres étaient tétaniser. Elle enfonça la lame dans le ventre de l'un et fit rouler la tête de l'autre sur le sol, sans qu'ils aient eu le temps de s'enfuir*
- Oh oui, vous me plaisez !
- AU SECOURE !!! Hurlait le dernier avec son bras en moins.
*Il regardait son sang couler sans comprendre*
- Chute, chute, chute... Personne ne viendra à ton secours... Les gens sont trop froussards pour sortir de chez eux en pleine nuit. Dit moi, ce n'est pas très prudent de trainer le soir ici, on pourrait y faire de mauvaises rencontres.
*Elle coupa la jambe droite de l'homme en souriant. Tous ce sang l'affolait, elle était en jouissance intérieur. Il y avait comme des flammes noirs qui émanaient de son corps pour venir lécher le visage de sa proie encore affolée. L'homme au sol, suait, pleurait, et elle, riait.
Elle finit par planter son sabre dans le crâne de l'homme, après quoi elle se pencha et lécha le sang qui coulait, plusieurs minutes. Quand elle fut calmée, elle regarda autour d'elle. Elle avait presque envie de vomir. Elle rangea son sabre et repartit en direction de la ferme en silence, d'un pas lent. Elle ne dégageait plus rien de terrifiant*

(--> Grande Ferme)

(--> Sur les toits)

Zimm marcha au hasard dans les ruelles, quand il vit une vieille maison. Il s'approcha de la porte d'entrée.
- Qui demeure ici ? Demanda t-il à un passant.
- Un vieux sage.
Parfait...
Zimm poussa la porte et entra sans avoir pris le temps de frapper.

(--> Chez le vieux sage)

(--> Chez le vieux sage)

*Spinelle courrait dans les ruelles sans prendre le temps de regarder derrière elle. Elle pénétra dans une impasse sombre et se souvint alors d'un sort que son maître avait essayé de lui apprendre. C'était maintenant ou jamais. Elle se concentra et sentit son corps se modifier. Quelques secondes après, Spinelle avait disparue de la ruelle, il ne restait plus qu'un chat noir, inoffensif. A ce moment, Shégi pénétra lui aussi dans l'impasse, l'arme à la main. Son visage était déformé par la colère. Il regarda autour de lui, cracha sur le sol et s'en alla d'un pas rapide et colérique. Dès qu'il disparu, Spinelle repris son apparence de jeune demoiselle. Elle ne contrôler pas encore bien ce sortilège et ne pouvait garder cette apparence trompeuse trop longtemps.
Elle était en pyjama, les cheveux tout ébouriffés. Le visage fatigué, un bandage autour de la poitrine. Bientôt, les polices partirons à sa recherche. Il lui fallait faire vite.*

(--> Sur les toits)

(--> Chez le vieux sage)

Un exorciste... On dit qu'il en reste sur les terres maudites... le continent inconnu... Ce serait une folie de se rendre là bas sans pouvoirs... Mais que faire d'autre, je me sent... Coincé...
Zimm marchait d'un pas lent dans les ruelles, à la recherche d'une solution à son problème.
J'ai besoin de marcher un peu... Je me sent mal...
La colère gagnait l'ange noir à la mine fatigué. Il ne lui était rien arrivé de bon depuis quelques temps.

(--> La vallée des brumes)

=} la taverne

* je passe en marchant dans la ruelle. il y a plein de monde assis par terre, plein de mendiants. un homme au loin me regarde bizzarrement. je continu. lorsque je commence a arriver a 10 mètres, l'homme, plutot grand ( et pas seulement par ce que je je suis un nain) commence a ce lever*

- ttt pas de ça... *dis-je*

*l'homme me regarde un instant, puis se rassoit d'un air résigné*

*je continu mon chemin jusqu'a la grande place*


=} la grande place


Trace =}2

=}la grande place


* je passe dans la rue (mais pas la meme) elle est presque déserte. seul un mc assit a quelques pas et un autre un peu plus loin debout sont présent. le mec au loin commence a sortir une dague et a venir vers moi*

- ttt pas de ça *je commence a sortir ma hache*

*le mec du fond me fait un grand sourire. le mec par terre essaye de m'attraper la jambe mais avant qu'il ne l'attrappe, je lui met un grand coup de pied dans le menton, sa tete heurte violament le mur derriere. je leve ma hache que j'avais déja en main et je l'abat sur le mec au sol. sa tete coupée en deux, je pointe ma lame vers le second*

-on la joue peace and love ou pas?

* je le regarde dans les yeux. il finit par détourner son regard, puis jette sa dague au sol et s'adosse contre le mur*

- tant qu'a faire un truc autant le faire a fond, tu ne croit pas?

* résigné, le type prend une deuxième dague qu'il avait au coté et la jette au sol. il se met ensuite face au mur les mains sur la tete. il me lance ensuite:*

- au passage si tu pouvait laisser une ou deux petites pieces...
-ok

*ma hache toujours en main je m'approche de lui, un pas derrière. je prépart ma hache a droite, tendue, au cas ou*

-un geste tu meurt. tu veux combien???
- si tu dix s...

* d'un geste sec et rapide, le malheureux finit décapité dans la rue.*

-pour le dérangement (et en guise d'échauffement)

*je continu ma route vers la porte*

=} la porte

Trace =}4

(La grotte abandonnée)

*Northfölk venais d'arriver en ville, après 21 ans de courses contre l'humanité il arrivait enfin à la civilisation, cela lui fît un choc. Il marchait au hasard des rues pour trouver une place avec les achoppes d'ouvertes, la population aux alentoures ne semblait pas faire attention à lui, mais un homme retins son attention, un nain plus précisément*

C'est bizzare, je n'ai jamais vue de nain de ma vie, cette race m'est inconnu , pourtant j'ai l'intime conviction de conaitre celui-là depuis toujours...

(La grande place)